
Dans un communiqué rendu public dans la soirée, le SNM (Syndicat national des magistrats ) annonce la rupture de « tous les canaux de discussions et de médiation et de dialogue » avec la chancellerie en réaction avec ce qu’il a qualifié des « graves dépassements » survenus à la Cour d’Oran « après la réquisition de la force publique pour évacuer les magistrats, faisant des blessés parmi ces derniers, et qui accentuent le pourrissement » . Le SNM « dégage toute responsabilité » quant aux « réactions de colère » que pourraient exprimer certains de ses membres et se réserve le droit de prendre toutes les mesures légales qu’il estime nécessaire contre les responsables de ces actes ». S’adressant à l’opinion publique, le SNM l’informe qu’il a pris la décision de rompre toutes les initiatives de médiation et de dialogue ayant pour but la résolution de la crise » et affirme qu’il ne les reprendra « qu’après le départ du ministre de la justice ».
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